Mariée et mère de 4 enfants, grand-mère, Marie-Madeleine de Kergorlay-Soubrier a enseigné pendant 38 ans. A ce titre, elle a été amenée à accompagner « sur le terrain » des jeunes en deuil. Elle a obtenu en 2000 le Diplôme universitaire « le deuil dans la formation des soignants et accompagnants »
Pour un enfant, l’intrusion de la mort dans sa vie surgit comme un événement inouï, dont il ne saisit pas tout…
Qu’il s’agisse d’un camarade, d’un grand-parent, ou, plus grave, d’un papa ou d’une maman, voilà un chagrin qui se love au creux de son cœur, plaie invisible, souffrance qui peut se réveiller tôt ou tard…car…Qui lui en parle ? Qui se penche sur sa peine ?
Il s’agit bien d’accompagner cet enfant toujours orphelin de papa ou maman et de l’amener vers la VIE.
Comment l’accompagner concrètement, d’une part au moment des rites, d’autre part pendant toutes les années qui le séparent de l’âge adulte ?
Cet accompagnement « continu » est le gage de son meilleur équilibre ultérieur. Éviter que la douleur de la perte, quand elle se réveille, ne fasse trop mal.
Apprendre à « vivre avec », sans rien gommer de la réalité de l’absence.
Le samedi 17 juin 2023, la section Nature animera une sortie « Sauvages de ma rue » organisée par la Maison pour Tous.
Venez découvrir les plantes de vos rues – les herbes folles.
La chanson populaire est la bande son d’une culture presque banale de la violence. À la fin du XIXe siècle, Aristide Bruant met en scène la misère sociale dans les quartiers populaires de Paris et sur la zone des fortifs. Il fait passer le frisson en évoquant les prisons, la guillotine et les bagnes militaires en Afrique. Ses goualantes projettent aussi une violence brutale, rigoureuse et constante, envers les prostituées. Les rixes entre bandes d’apaches et leur haine de la police font la joie des cabarets montmartrois et des cafés-concerts. En parallèle, la chanson anarchiste ou anarchisante prêche la révolution permanente et les attentats terroristes autour de l’imaginaire sanglant du « Grand Soir ».
Histoire des hommes et des unités des origines aux lendemains de la Grande Guerre.
« Qui étaient donc ces hommes de la Maréchaussée et de la Gendarmerie, dont la tâche principale était de faire respecter l’ordre et la justice, à travers tous les âges ? Quelles étaient leurs vies avant, pendant et après leur service pour le Royaume, l’Empire ou la République ? »
Retraçant l’histoire de 45 lieux d’implantation d’unités et de la vie de près de 2 500 militaires, dans le département de la Vienne, pour la période allant du XVIe siècle aux lendemains de la Grande Guerre, Anthony Gourdeau, gradé supérieur de la gendarmerie nationale, sort de l’oubli des faits divers, ainsi que des figures d’officiers, sous-officiers et hommes du rang ayant servi dans toute la France. Ces militaires, envoyés sur de nombreux théâtres de guerre, sur tous les continents, décorés de diverses distinctions, ont, par leurs actions, permis d’interpeller les auteurs de crimes et de délits, de maîtriser des forcenés, des animaux ou des incendies et sauvé de nombreuses vies.